Une épatente avanture de Jules - Tome 4 - Un départ précipité
EAN13
9782205150438
Éditeur
Dargaud
Date de publication
Collection
Une épatante aventure de Jules
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Une épatente avanture de Jules - Tome 4 - Un départ précipité

Dargaud

Une épatante aventure de Jules

Indisponible
Bidule, le cochon d’Inde de Jules et son meilleur copain, va mal. Si mal que
les parents l’ont mis à la poubelle un peu hâtivement. En fait, d’après le
vétérinaire (un type sensible et délicat qui a disséqué pas mal de cochons
d’Inde dans sa jeunesse), il lui reste deux jours à vivre avec son cancer.
Désespéré, Jules refuse. Et avec ce qu’on appelle justement “l’énergie du
désespoir”, il va secouer toute la planète (et même les autres), ainsi qu’un
Prix Nobel et quelques chercheurs extraterrestres, pour tenter de sauver
Bidule. D’abord il fugue en Angleterre avec Bidule, où Virginia Wilkins,
génétitienne, Prix Nobel et maman de Janet, Janis et Jane, propose de lui
fabriquer un clone immortel. Mais Jules ne veut pas d’un clone immortel, il
veut son Bidule à lui, vivant. Ensuite, entraînant avec lui son papa devenu
radioactif (voir épisode précédent) et beaucoup plus rigolo que d’habitude, il
retrouve en Ecosse ses amis Tim et Salsifi, natifs d’Alpha du Centaure, avec
qui il embarque pour Titan. De retour en Ecosse avec les médicaments capables
de sauver Bidule — et un contre-temps spatio-temporel qui lui a fait perdre
une année terrestre —, il retrouve une Janet montée en graine et un Bidule qui
pète de santé. Beaucoup trop, en fait. Comprenant que Bidule est mort et que
Madame Wilkins s’est adonnée à son péché mignon (le clonage), Jules écoute
enfin les conseils avisés de Tim : “Il faut savoir accepter la mort et passer
à aut’chose, sinon ça te rapporte que des emmerdes.” On ne saurait mieux dire.
Et, du même coup, il accepte de grandir. On apprend des tas de choses sur la
vie et la mort des cellules, sur le mythe d’Orphée (dont on avait un peu
oublié la fin), sur le climat qui règne en été dans la région de Saturne
(méthane liquide et pluie d’azote à — 170°) et sur la façon dont on finit par
accepter l’inacceptable pour revenir du côté de la vie. Le tout, traité avec
légèreté, humour et sensibilité, s’adresse aux enfants comme aux adultes, tout
le monde étant bien forcé un jour de regarder cette nuisance en face — la
mort.
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