- EAN13
- 9782350871646
- ISBN
- 978-2-35087-164-6
- Éditeur
- Héloïse d'Ormesson
- Date de publication
- 13/10/2011
- Nombre de pages
- 666
- Dimensions
- 20,6 x 14,1 x 4,7 cm
- Poids
- 643 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- flamand, néerlandais
- Fiches UNIMARC
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Offres
En adoptant Lina, la fille de deux dissidents qu’il vient d’assassiner, le
major Anthony imagine régler ses problèmes – sa stérilité, le désir de
maternité de sa femme Paloma. Hélas, elle refuse d’élever un enfant qui
n’est pas le sien. Et, lorsque le major doit comparaître devant un tribunal
pour rendre compte de ses déboires militaires, sa vie devient un cauchemar.
Livrée à elle-même, la jeune Lina décide de partir à la recherche de ses vrais
parents, avant de tomber de nouveau dans les mains de mystérieux
ravisseurs…
Saga absurde et désespérante, Notre oncle est avant tout une allégorie de la
guerre et de la violence, dans un monde où la morale a un prix.
« Je me suis engagé dans l’armée parce que je ne trouvais pas de travail. Je
n’avais pas le choix. L’armée, je m’en fichais. J’avais faim, major. Je
regardais les gens manger derrière les vitres des cafés et des restaurants. Voilà comment je devais
apaiser ma faim : en les regardant. Je me suis engagé dans l’armée parce que j’avais faim.
Maintenant, c’est vous qui avez faim. Ainsi vont les choses. »
major Anthony imagine régler ses problèmes – sa stérilité, le désir de
maternité de sa femme Paloma. Hélas, elle refuse d’élever un enfant qui
n’est pas le sien. Et, lorsque le major doit comparaître devant un tribunal
pour rendre compte de ses déboires militaires, sa vie devient un cauchemar.
Livrée à elle-même, la jeune Lina décide de partir à la recherche de ses vrais
parents, avant de tomber de nouveau dans les mains de mystérieux
ravisseurs…
Saga absurde et désespérante, Notre oncle est avant tout une allégorie de la
guerre et de la violence, dans un monde où la morale a un prix.
« Je me suis engagé dans l’armée parce que je ne trouvais pas de travail. Je
n’avais pas le choix. L’armée, je m’en fichais. J’avais faim, major. Je
regardais les gens manger derrière les vitres des cafés et des restaurants. Voilà comment je devais
apaiser ma faim : en les regardant. Je me suis engagé dans l’armée parce que j’avais faim.
Maintenant, c’est vous qui avez faim. Ainsi vont les choses. »
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