- EAN13
- 9782930582894
- ISBN
- 978-2-930582-89-4
- Éditeur
- DU BASSON
- Date de publication
- 06/11/2021
- Collection
- ROMAN
- Nombre de pages
- 118
- Dimensions
- 20,5 x 14 x 0,9 cm
- Poids
- 200 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
rampants des villes
« Bonjour,
Écriture juste. Juste l’écriture. Sèche. Brute. Logorrhée libre, tendue, inéluctable. Poignante. Sombre. Une poigne qui vous happe.
Juste dans l’observation sociale. Une dureté, une violence dans la description du monde et des gens qui fait du bien à lire. Un rythme, une musicalité qui coupent le souffle.
Écriture juste, dense. Juste dense. Écriture hypnotique. Pas d’artifice mais du feu. Pas de truc. Aride pour dire le mal-être. Une introspection sans fard. Pensées en boucle. On pourrait presque supprimer les points.
« Le dedans c’est à soi. Rien qu’à soi. Ça ne regarde personne le dedans. Dans les livres si peut-être, mais pas dans les toilettes ».
L’émotion vient des mots jetés. Un déversoir à pensées. Ne pas s’arrêter pour ne pas penser qu’on n’a rien à penser. « Seulement un vide à raconter. Rien d’autre ». L’emprise est là, poignante. Sans même être évoquée.
Voilà. »
(Lettre à Léo Betti suite à l’envoi de son manuscrit)
« Bonjour,
Écriture juste. Juste l’écriture. Sèche. Brute. Logorrhée libre, tendue, inéluctable. Poignante. Sombre. Une poigne qui vous happe.
Juste dans l’observation sociale. Une dureté, une violence dans la description du monde et des gens qui fait du bien à lire. Un rythme, une musicalité qui coupent le souffle.
Écriture juste, dense. Juste dense. Écriture hypnotique. Pas d’artifice mais du feu. Pas de truc. Aride pour dire le mal-être. Une introspection sans fard. Pensées en boucle. On pourrait presque supprimer les points.
« Le dedans c’est à soi. Rien qu’à soi. Ça ne regarde personne le dedans. Dans les livres si peut-être, mais pas dans les toilettes ».
L’émotion vient des mots jetés. Un déversoir à pensées. Ne pas s’arrêter pour ne pas penser qu’on n’a rien à penser. « Seulement un vide à raconter. Rien d’autre ». L’emprise est là, poignante. Sans même être évoquée.
Voilà. »
(Lettre à Léo Betti suite à l’envoi de son manuscrit)
Commentaires des lecteurs
Très court roman. Noir, dur, sans concession. Brut. Tout le monde est égratigné, les pauvres, les riches, les filles, les garçons, les beaux, les moches... Le Nord. Béziers? Tous pareils. Partout les mêmes losers. Les mêmes rampants des villes. Les ...
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