- EAN13
- 9782758611035
- ISBN
- 978-2-7586-1103-5
- Éditeur
- Livre d'histoire
- Date de publication
- 15/05/2023
- Collection
- MVVF
- Nombre de pages
- 100
- Poids
- 401 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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CHAILLEVOIS Des origines à 1945. Petite chronique d'un village du Laonnois
Bruno Billon-De Sars
Livre d'histoire
Mvvf
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Au cœur du Laonnois verdoyant se niche un charmant village, au flanc d’un vallon délicatement boisé. C’est Chaillevois « la paisible », comme la surnommaient les anciens. Nous découvrons dans cet ouvrage, sous forme de chronique, les événements qui ont jalonné la vie des habitants au cours des siècles, depuis l’organisation de la communauté au Moyen Âge, jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Chaillevois, du latin cave via, fut longtemps confondu avec Chailvet. Au XIIIe siècle, l’évêque de Laon l’organise en paroisse fiscale autour de son curé, son église et son cimetière. Si le « haut » échoit au chapitre de la cathédrale de Laon, le « bas » passe aux mains des comtes de Roucy qui le conserveront pendant plus de deux siècles. Le domaine sera acheté en 1602 par Robert de La Vieuville.
Le vignoble, dont l’essor n’a cessé de grandir, couvrait une vingtaine d’hectares à la veille de la Révolution. Le passé viticole du bourg a forgé l’architecture si typique des habitations appelées « vendangeoirs », destinées à abriter le fruit du travail des vignerons dans tout le Laonnois.
Placé sur le couloir des invasions, le bourg de Chaillevois ne sera pas épargné par les passages multiples de troupes ennemies, les pillages, les destructions, les massacres. On trouvera dans ces pages un aperçu de toutes les vicissitudes imposées à la population au fil du temps : l’occupation des maisons, les restrictions, les impositions, autant de tourments auxquels s’ajouteront les intempéries, les épidémies.
Depuis la guerre de Cent Ans, jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale, l’Histoire se répètera avec son lot de malheurs. Mais cela n’empêchera pas la commune de se relever à chaque fois et de « conserver son charme envié ». Cette petite chronique villageoise, met également en lumière tous les personnages qui ont présidé à la vie de Chaillevois.
Chaillevois, du latin cave via, fut longtemps confondu avec Chailvet. Au XIIIe siècle, l’évêque de Laon l’organise en paroisse fiscale autour de son curé, son église et son cimetière. Si le « haut » échoit au chapitre de la cathédrale de Laon, le « bas » passe aux mains des comtes de Roucy qui le conserveront pendant plus de deux siècles. Le domaine sera acheté en 1602 par Robert de La Vieuville.
Le vignoble, dont l’essor n’a cessé de grandir, couvrait une vingtaine d’hectares à la veille de la Révolution. Le passé viticole du bourg a forgé l’architecture si typique des habitations appelées « vendangeoirs », destinées à abriter le fruit du travail des vignerons dans tout le Laonnois.
Placé sur le couloir des invasions, le bourg de Chaillevois ne sera pas épargné par les passages multiples de troupes ennemies, les pillages, les destructions, les massacres. On trouvera dans ces pages un aperçu de toutes les vicissitudes imposées à la population au fil du temps : l’occupation des maisons, les restrictions, les impositions, autant de tourments auxquels s’ajouteront les intempéries, les épidémies.
Depuis la guerre de Cent Ans, jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale, l’Histoire se répètera avec son lot de malheurs. Mais cela n’empêchera pas la commune de se relever à chaque fois et de « conserver son charme envié ». Cette petite chronique villageoise, met également en lumière tous les personnages qui ont présidé à la vie de Chaillevois.
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