- EAN13
- 9782232147883
- ISBN
- 978-2-232-14788-3
- Éditeur
- Seghers
- Date de publication
- 24/10/2024
- Nombre de pages
- 192
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
Après Le Gainsbook, devenu une monographie de référence, voici La Discothèque de Serge Gainsbourg, une façon inédite d'envisager les sources musicales qui ont permis l'émergence d'une œuvre à nulle autre pareille.
S'il se destinait initialement à la peinture, Serge Gainsbourg n'est pas venu à la chanson par hasard. Pianiste, son père jouait de nuit dans les casinos, les restaurants ou les clubs : il devait maîtriser un large registre musical et enchaîner avec grâce mélodies classiques, standards de jazz et derniers airs à la mode. Il a initié son fils dès son plus jeune âge et a assuré sa formation. Tout au long de sa vie de créateur, Gainsbourg a gardé en lui cette capacité à épouser successivement tous les genres, inspirations musicales et à guetter les tendances du moment. Alors, qu'écoutait Gainsbourg ? Et comment ce qu'il aimait a pu nourrir sa propre création ? Pour mener leur enquête, les auteurs ont scruté la moindre photo où apparait le coin d'un vinyle. Ils ont consulté les playlists recommandées par l'artiste lorsqu'il était invité pour des cartes blanches en radio. Ils ont fureté dans sa propre discothèque, rue de Verneuil, pour en lister les K7, les 33 et 45 tours. Et, au total, ils ont recensé près de 400 références d'albums, lesquelles épousent les mouvements de carrière de l'artiste. Du classique à la chanson réaliste, du jazz à la pop anglaise, du funk au reggae, on peut établir des passerelles entre ses compositions et les les musiques qui s'inscrivent dans son panthéon sonore, le rapport si singulier que Gainsbourg entretient avec son époque. Cette discothèque nous renseignent sur ses influences et soulignent, derrière tel ou tel emprunt, tel ou tel sample, son talent de " Faussaire de Génie " (selon le mot de Denise Glaser).
S'il se destinait initialement à la peinture, Serge Gainsbourg n'est pas venu à la chanson par hasard. Pianiste, son père jouait de nuit dans les casinos, les restaurants ou les clubs : il devait maîtriser un large registre musical et enchaîner avec grâce mélodies classiques, standards de jazz et derniers airs à la mode. Il a initié son fils dès son plus jeune âge et a assuré sa formation. Tout au long de sa vie de créateur, Gainsbourg a gardé en lui cette capacité à épouser successivement tous les genres, inspirations musicales et à guetter les tendances du moment. Alors, qu'écoutait Gainsbourg ? Et comment ce qu'il aimait a pu nourrir sa propre création ? Pour mener leur enquête, les auteurs ont scruté la moindre photo où apparait le coin d'un vinyle. Ils ont consulté les playlists recommandées par l'artiste lorsqu'il était invité pour des cartes blanches en radio. Ils ont fureté dans sa propre discothèque, rue de Verneuil, pour en lister les K7, les 33 et 45 tours. Et, au total, ils ont recensé près de 400 références d'albums, lesquelles épousent les mouvements de carrière de l'artiste. Du classique à la chanson réaliste, du jazz à la pop anglaise, du funk au reggae, on peut établir des passerelles entre ses compositions et les les musiques qui s'inscrivent dans son panthéon sonore, le rapport si singulier que Gainsbourg entretient avec son époque. Cette discothèque nous renseignent sur ses influences et soulignent, derrière tel ou tel emprunt, tel ou tel sample, son talent de " Faussaire de Génie " (selon le mot de Denise Glaser).
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Vinyles. L'art du disque, L'art du disqueRichard Gouard, Christophe Geudin, Grégory BricoutLa Martinière
-
Comédies à la française / 250 films incontournables du cinéma comique français, 250 films incontournables du cinéma comique français !Christophe Geudin, Jérémie ImbertFetjaine
-
Moi, princesse Marguerite, Diego vélasquezXavière Devos, Stéphane Girel, Christine BeigelCrdp Marseille