Un premier roman surprenant de maîtrise, une fable sur la relation mère-fille et ses dérives, le tout au bord de l'eau.
Mingarelli emmène une fois de plus son lecteur dans une promenade, une discussion entre deux personnages que tout oppose du début à la fin, et de cette opposition naît la lumière. Ou une lueur. Un très beau roman.
Si vous avez aimé l'Amie prodigieuse...
Les bas-fonds d'une Italie fascinante, avec des héros forts et des histoires éternelles, sans cesse renouvelées.
Un très beau texte, puissant, qui saura ravir les lecteurs d'Elena Ferrante que l'on ne peut que garder à l'esprit lors de la lecture.
À première vue, ce roman a tout pour déprimer profondément tout lecteur normalement constitué. On accompagne Jeanne dans une portion de sa vie qu'elle n'avait pas prévue et qui, en une consultation médicale, change son existence et sa manière de voir les choses du tout au tout.
Loin d'être pathétique, ce roman parfois drôle, souvent léger, est la peinture d'une femme qui reprend sa vie en main et commence à vivre pour elle même, enfin.
Une belle surprise de la part d'un auteur qui nous avait plutôt habitués à des héros masculins et torturés, Jeanne est lumineuse.
Un petit bonbon doux-amer
Que l'on soit un spécialiste de la politique britannique ou un citoyen peu intéressé par la perfide Albion, ce roman touchera juste, en cherchant à montrer un peu de ce qui est le quotidien d'une nation aux prises avec ses propres contradictions.
Pas nécessaire d'avoir lu les romans précédents de Jonathan Coe pour savourer ce texte à la fois drôle et mordant qui accompagne une famille presque lambda dans un quotidien qui, lui, ne l'est pas.